Petit rouquin à l’air plutôt timide, nous livre ici de la pop-rock anglo-saxonne enivrante et mélancolique. Il n’est pas irlandais mais bien français!
L’influence des Beatles ne passe pas inaperçu, grace à ces montées en choeurs ou bien, dans Late Night Love, ces sonorités rappelant le sitar indien, ou la composition de Queen of the fool.
Harmonica à la Bob Dylan sur Champagne, montée dans les aigus sur Aqualast nous rappelant Muse, Rover nous fait bien ressentir ses influences.
On peut encore citer les Beach Boys, David Bowie, ou alors Beach House pour cette sensibilité, bref beaucoup d’influences positives et de goûts authentiques, au milieu d’une pop-rock qui, depuis quelques années, est assez tiraillée du coté des claviers et de la musique éléctronique.
Max. G