– Malik « victime des meufs » beau gosse, coquet et un poil narcissique [Nassim Si Ahmed ] – Polo « kiffe le rap de tèce » le grand enfant qui ne veut pas grandir [Pabl o Pauly] – Barkette « une force colossale » dans la lune, dans sa bulle, dans sa matrice [Issa Doumbia].
Ils ont tous grandi ensemble dans le même quartier de Condé-sur-Ginette, au cœur de la « culture des vannes », « des bastons de regard », et des « gros mythos ». Suite au déménagement des parents de Jo, les quatre entament une coloc et pour faire simple : on est pas au bout de nos surprises. Il nous font découvrir ce que représente, selon eux, la « good life » et leurs aléas. Entre galère et barre de rire, on se prend au jeu sans soucis.
De l’animation à la fiction : Après la série d’animation, le long métrage d’animation, voici la version avec un peu plus de réalisme réalisé par Tristan Aurouet et IZM . On retient son souffle, on se demande si ça va autant le faire que lorsqu’on était avec des personnages animés, et en fait ouai !!! La rigueur narrative, l’authenticité du langage et la liberté de tonalité donne cohérence au projet mais surtout crédibilité. Mais le monde des Lascars c’est aussi en grande partie la musique et encore une fois big up’ à Lucien Papalu qui donne force sonore à la série. Un voyage dans la culture urbaine qui traite de la banlieue et ses thèmes de prédilection avec du second degré et on aime ça.
Ce sont 12 épisodes de 13 minutes à découvrir dès juillet sur Canal + Enjoy !
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By Azanie.M
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